Après d’extraordinaires sessions dans les forêts chargées de poudre, il fallait se rendre à l’évidence : ça ne durerait pas.
Le yo-yo météo a eu raison de ces belles chutes de décembre, transformant le tout en un innommable bouzier, fait de rigoles d’écoulement en basse altitude et de neige vitrifiée dés que l’on dépasse 2200m.
Je suis allé y faire une reconnaissance, c’est calamiteux, avec en plus des départs de plaques dans tous les sens.
Bref, pas un temps a skier.
ça tombe bien, je pars à l’ENSA pour 4 semaines de ski :o)